Elle se déplace en buvant les regards autour, reine de salon au visage composé, étoffes vacillantes couvrant son corps faux, corset talons gaine cassant les formes, cubisme charnel, pour plaire à celui dont les yeux grisent son âme.
Il souffre en souriant, marquant la belle du noir impénétrable de ses pupilles dilatées, prince rougissant devant le gouffre maléfique de ses fantasmes inavoués, rêvant tout bas à ce qu’il ferait d’elle plus tard, révélant la jeune première dépravée, lui marquis de Sade elle Justine effarouchée.